Les composés organiques volatils (COV)

Module II de la formation en géobiologie scientifique

Ces hydrocarbures sont issus de matériaux de construction et s’évaporent dans l’air ambiant d’une habitation, d’un bureau, etc … sous l’effet de la chaleur et de l’humidité. Ils peuvent être diffusés durant plusieurs années.

On retrouve comme COV dans les habitations :

Le formaldéhyde (famille des aldéhydes) hautement toxique que l’on retrouve notamment dans les meubles en aggloméré, c’est cette odeur si spécifique.

Les hydrocarbures aromatiques : benzène, toluène, styrène, et autre xylène : papiers peints, moquettes, colles, peintures, vernis etc ….

De nombreuses études ont mis en évidence les risques encourus par l’émission de certains COV, dont notamment :

  • atteinte de l’appareil digestif, des reins, de la moelle osseuse et du cœur
  • allergie et irritation des voies respiratoires (asthme), de la peau, du nez et des yeux
  • perturbation du système immunitaire
  • risque d’effets cancérogènes

Pour s’en prévenir

Une bonne aération des pièces, au moins dix minutes par jour, est nécessaire ( ne pas tout calfeutrer, ne pas colmater les bouches d’aération).

Plantes :

Il existe des plantes dépolluantes qui ont la particularité d’absorber certains COV par les feuilles pour les restituer au niveau de la terre ou les micros organismes se chargeront de leur détérioration. Mais attention, cela résulte des travaux de la NASA, travaux réalisés en laboratoire avec des plantes surexposées à lumière et en forte concentration. Il est évident que vous n’obtiendrez jamais de bons résultats chez vous. Il ne s’agit pas là de solutions viables qui fonctionneront chez vous.

AglaonémaBenzèneToluène
AzaléeAmmoniac
ChamaedoreaBenzèneFormaldéhyde
ChlorophytumMonoxyde de carboneToluène
ChrysanthèmeBenzèneFormaldéhyde
Dracaena marginataBenzèneFormaldéhyde
FicusFormaldéhyde
Fougère de bostonFormaldéhyde
GerberaBenzèneFormaldéhyde
LierreBenzène
NephrolepsisFormaldéhyde
Palmier d’arecFormaldéhyde
PhilodendronFormaldéhydePentachlorophénol
Phoenix roebiliniFormaldéhyde
SanseveriaBenzèneFormaldéhyde
Scindapsus aureusBenzène
SpathipyllumBenzène
SyngoniumFormaldéhyde

Questions sur la géobiologie

Voici des réponses, en quelques pages, des questions qui me sont le plus souvent posées lors de mes expertises de géobiologie et des conférences ou interventions auprès du public.

  • Géobiologie et feng Shui
  • La géobiologie et le monde scientifique
  • Le lit au nord ?
  • Les protections
  • Pourquoi ne faut-il pas dormir sur un cours d’eau souterrain ?

Géobiologie et Feng Shui

Module III de la formation en géobiologie scientifique

Il n’est pas rare aujourd’hui de voir nombre de personnes s’identifiant en tant que géobiologue. Il existe, d’ailleurs, de plus en plus de personne pratiquant à la fois le Feng Shui et la géobiologie, qui sont pourtant deux sciences qui n’ont pas de correspondance directe.

Aujourd’hui, rares sont les géobiologues sérieux, de la même façon, rares sont les consultants en Feng Shui qui pratiquent le vrai Feng Shui traditionnel. Les formations sont ouvertes à tout un chacun, et en l’espace de quelques weekends, on se retrouve pratiquant d’une discipline, voire de deux (souvent pour la géobiologie, le cursus propose uniquement 2 heures d’étude).

Dans le cas du Feng Shui, j’invite toute personne souhaitant faire réaliser une étude de s’aviser que le consultant réalise un Feng Shui traditionnel, connaissant le principe des bazi et des étoiles volantes. Cela élimine beaucoup d’opérants. Un vrai consultant ne vous fera pas disposer des carillons à plusieurs endroits dans la maison, et de même ne vous dira pas de faire une cure de sel dans plusieurs pièces (comme il est souvent préconisé). Par ailleurs, une étude Feng Shui ne se fait pas en une journée. Le consultant passe chez vous, regarde votre intérieur, utilise des baquettes (des rade master) pour regarder dans quel sens circule l’énergie de la pièce et en même temps vous indique la présence de nuisances géobiologiques.

Non, soyons sérieux ! le Feng Shui traditionnel est bien plus complexe, il va bien plus loin que cela. On y retrouve des principes de médecine chinoise, comme la loi des 5 éléments, mais utilisée avec des nuances, d’autres variantes que celle de la bioénergie. Il existe tout une partie de calcul en fonction des directions, de l’orientation et de l’environnement d’un lieu. Et tout ceci, sans parler de l’étude des personnes dans le lieu en fonction de leur naissance et du bilan énergétique personnel.

Une étude de Feng Shui demande beaucoup de temps, et ne se réalise pas en une journée passée chez le client. C’est pourquoi, les vrais praticiens en Feng Shui ne font que du Feng Shui. Ils ont besoin des plans du lieu, et prennent des renseignements sur les occupants. Ils sont à même de disséquer les événements de votre vie tout au long de votre vécu. J’en ai fait l’expérience avec Marie-Christine Loucheur, qui m’a sidéré d’exactitude, en m’indiquant jusqu’à mes problèmes de santé rencontré tout au long de ma vie. Plus encore, elle a su identifier les types de relations que j’avais avec compagne, enfants, parents et clients sur des périodes précises.

Du côté de la géobiologie, il y a de plus en plus de personnes qui débarquent rade master et pendule à la main, et déterminent la position d’un nœud Hartmann et d’un nœud Curry, puis avec une précision millimétrique vous indiqueront ou se situent les autres nœuds. Mieux encore, j’ai assisté à une expertise ou le géobiologue mesure la nocivité d’un nœud. Il y avait donc les nœuds nocifs et les non nocifs. J’ai même découvert de nouveaux réseaux, comme le réseau Isis. Alors là, j’avoue, j’ai demandé à d’autres géobiologues que je considère comme sérieux de m’informer sur ce réseau si dangereux et très spécial. Mais aucun d’eux ne le connaissait. Ouf … Je n’ai pas perdu mes dix dernières années.

Je n’ai rien contre les rades master et les pendules. Je n’ai rien contre les personnes qui font la géobiologie au ressenti. Mais la géobiologie ne sort pas d’un grimoire ésotérique.

La science de la géobiologie a été redécouverte par des scientifiques et des médecins, comme je l’indique dans la partie « la géobiologie et le monde scientifique » (https://www.gassies-acmos.fr/la-geobiologie/la-geobiologie-et-le-monde-scientifique/). Autrefois appelée géomancie, pratiquée par les sourciers, elle répond à des lois physiques. Les réseaux dits telluriques sont issus de phénomènes naturels engendrés par des interactions de phénomènes terrestres et stellaires impliquant des quantités d’énergie telles, qu’il est évident qu’un cristal, une céramique ou une onde de forme ne peuvent en venir à bout. Il existe des appareils de mesure scientifique, tel le géomagnétomètre, qui mettent en évidence les réseaux telluriques.

Alors pourquoi le monde scientifique est-il si partagé sur la géobiologie ?

D’une part, je pense qu’il existe trop de « farfelus » qui débarquent avec ressentis, et autres pentacles de protection et qui mélangent ésotérisme et faits réels. Et d’autre part, ce domaine gène, car il met en avant l’existence de phénomènes non perceptibles dans le visible, mais mesurables, qui peuvent altérer la santé et dont aucun corps scientifique n’a la maîtrise.

Avant que l’on ne me saute dessus, ayant parlé du monde scientifique, j’attire l’attention sur l’introduction du livre rédigé par Alain de Luzan « Votre santé en lieu sûr », auprès de ce dernier j’ai finalisé ma recherche et ma formation en géobiologie, ou sur le défunt Hans Wilhelmsson, membre du Jury des prix Nobel de physique à partir 1974, qui indique dans un courrier adressé à Alain de Luzan, l’importance de la géobiologie qu’il considère comme devant devenir une discipline à part en entière.

La géobiologie et le monde scientifique

Module I de la formation en géobiologie scientifique

Hippocrate, dans son ouvrage “A propos des Airs, des Eaux et des Lieux”, écrit en 430 avant J.-C ; déclarait :

“Celui qui veut se perfectionner dans l’art de guérir considérera comment l’endroit est disposé et s’informera du sous-sol, concurremment avec la constitution des êtres vivants.”

Depuis la plus haute antiquité, des dynasties égyptiennes, chinoises et autres civilisations, l’étude du sol était un art car ils avaient compris que si la maladie résiste, il faut aller voir où la personne habite.

C’est en Chine que sont nés le Kanyu puis le Feng Shui, quand au Vashu Shastra, on en trouve la trace dans les Veda, les livres sacrés de l’hindouisme datant de 1800 avant J.-C.


Fin 19ème siècle, à la société de Médecine de Londres, le docteur Haviland expose que la maladie est en règle général en relation avec le lieu de l’habitation.

1927, M. Stelys réalise une étude sur des maisons de Clermont-Ferrand réputés “à cancer” et découvre quelles sont situées audessus d’une faille volcanique.

1933, G. Lakhovsky publie son livre “La terre et nous”, on peut y lire : “le rayonnement tellurique et le cancer”.

1934, le président de la Chambre des Médecins de Marburg, le docteur Rambeau, réalise une étude à l’aide d’instruments de mesures physiques mettant en évidence la dangerosité des zones géopathogènes.

De 1932 à 1939, à l’aide de l‘ingénieur Lienert, le docteur Jenny réalise des tests d’exposition aux rayonnements telluriques sur des souris. Placées sur des zones géopathogènes, non seulement, elles essaient de sortir de leurs cages, mais leur espérance de vie diminue. Par ailleurs, l’étude démontre qu’elles réalisent leurs nids sur des zones neutres.

En 1947, le docteur Peyré regroupe dans son ouvrage “Radiations cosmotelluriques” ses recherches concernant l’impact d’un lieu sur la santé.

1950, le docteur Huveland, professeur de pathologie et de thérapeutique à l’Académie des Sciences de Berlin fait la relation entre les maisons et la santé. Parallèlement, le docteur Hartmann, médecin de l‘université de Heildelberg, et son frère, réalisent une étude sur le positionnement des lits et l’impact de celui-ci sur la santé. Ils découvrent un réseau géomagnétique qu’ils nommeront réseau Hartmann. Leur étude démontre l’importance du choix des lieux pour le repos et le travail.

1955, le physicien Wüst réalise des tests sur l’emplacement des lits de malades lourds et découvre une présence anormalement accrue de rayonnement gamma tellurique.

1957, Williams et Lorenz démontrent que les rayonnements gamma et la présence de gaz radon sont plus présents au niveau de failles géologiques. Le docteur Beck découvre que les enfants atteint de cardiopathie voient leur rythme cardiaque augmenté lors d’expositions aux rayonnements telluriques.

1972, l’ingénieur J.W.F Staengle réalise une étude sur des maisons dites “à cancer” et découvre à l’aide d’un scintillomètre à rayons gamma que ces dernières se trouvent à l’aplomb de cours d’eau souterrains.

Depuis les années 1980, grand nombre de personnes ont publié des ouvrages sur la géobiologie et la manifestation des phénomènes qui en résultent et leur impact sur notre santé.

Pourquoi ne faut-il pas dormir audessus d’un cours d’eau souterrain?

Module IV de la formation en géobiologie scientifique

Vivre sur l’eau ne pose aucun problème dans la mesure où celle-ci n’est pas polluée ou ne transporte pas de message de polluants. Ce n’est pas l’eau en soi qui est nuisible.

Dans un cours d’eau souterrain, c’est le frottement de l’eau sur la roche qui génère une échappée d’électrons qui migrent vers la surface. La baguette de sourcier n’est qu’un détecteur à électrons (charge négatives).

Utiliser un simple voltmètre donne le même résultat, on recherche un différentiel de potentiel à la surface du sol. (cf. schéma https://www.gassies-acmos.fr/index.php/geobiologie-scientifique/cours-deau-souterrains-et-failles-seches/).

Notre corps possède un système de charge électrique très performant permettant non seulement la transmission de message nerveux mais aussi celle de la structure de nos cellules. Vivre, mais surtout dormir à l’aplomb d’un cours d’eau souterrain, c’est faire baigner son corps dans un flux de charge négative, c’est le soumettre à un différentiel de potentiel qui finit par déstabiliser notre propre réseau de charge.

Les protections

Module IV de la formation en géobiologie scientifique

Les réseaux telluriques et cheminées cosmotelluriques.

En géobiologie scientifique, nous savons qu’il n’existe aucun système de protection efficace contre les divers réseaux telluriques et les cheminées cosmotelluriques puisqu’ils sont issus de la structure même de la terre et donc du champ magnétique terrestre etc. Par ailleurs, nos appareils de bioénergétique Acmos, qui permettent de mesurer l’activité de la circulation énergétique des méridiens en médecine traditionnelle chinoise, nous montre clairement, des mesures en zone « neutre » différentes à celles en zone perturbée par un phénomène géobiologique. Il n’y a donc pas de protection.

cf : https://www.gassies-acmos.fr/index.php/geobiologie-scientifique/comprendre-les-reseaux-telluriques/

L’expertise permet de repérer les zones dites « géopathogènes » afin de visualiser les zones neutres. Ces zones neutres vont permettrent de disposer les lits, canapés, bureau, etc … en zone protégée.

Tout géobiologue exerçant la géobiologie scientifique dispose d’une connaissance en bioénergie. On sait en bioénergie que le corps physique engramme les informations de l’environnement. Ainsi, le géobiologue trouve sur le corps, les « traces » d’un cours d’eau souterrain, ainsi que ceux des réseaux telluriques, et bien d’autres choses. Après expertise et mise en zone protégée, le géobiologue efface ces traces d’agressions.

L’utilisation de certains artifices naturels ou de fabrications (comme les céramiques) n’apportent aucune protection contre les effets des rayonnements, des réseaux telluriques et autres manifestations du sous-sol. Comment peut-on affirmer cela ? Par divers tests et notamment en bioénergie. Lorsqu’un corps présente les traces d’un réseau tellurique par exemple, alors que la personne est censée être « protégée », on ne peut pas dire que la protection soit d’une quelconque efficacité. Une personne « protégée » ne devrait plus présenter la moindre trace d’agression liée à tout phénomène étudié en géobiologie. Ces genres d’objet n’ont d’efficacité que sur l’aspect circulation énergétique ou qualité biotique d’un lieu (un autre aspect de la géobiologie).

La pollution électromagnétique.

Pour tout ce qui concerne les pollutions électromagnétiques, certains principes de base sont à appliquer, comme par exemple : brancher une prise de courant dans le bon sens, etc …

Il existe des solutions performantes contre les pollutions électromagnétiques que le géobiologue vous proposera.

Le lit au nord ?

Souvent, il m’est demandé s’il faut impérativement dormir la tête au nord ?

Il est vrai, que dans une telle orientation, correspondant au champ magnétique terrestre, l’homme bénéficie d’un meilleur sommeil. Le docteur Hartmann a émis l’hypothèse que cette orientation permet un meilleur drainage de l’organisme par le flux sanguin du fait de la présence de fer dans le sang.

Un autre fait avéré : le lit tête vers l’Est.

Les énergies de l’Est apporte un effet dynamisant à l’organisme, c’est le côté du soleil levant, ceux sont les énergies du lever si bénéfiques. Mais il ne faut pas en abuser.

Et quand est-il des lits à armature métallique ?

Si l’on s’amuse à placer une boussole sur un tel lit, on découvre que celle-ci en « perd son Nord ». Il est donc de fait, que nos cellules le perdent aussi.

Ainsi, préférez un lit en bois, dans la mesure où l’on ne laisse pas trainer de câble électrique.


Bien-sûr, certaines personnes sont plus sensibles que d’autres aux effets de l’orientation du lit. Mais, il ne faut pas confondre sensibilité et effets sur l’organisme. Le manque de sensibilité ne protège pas l’organisme.

Questions sur la géobiologie

Voici des réponses, en quelques pages, des questions qui me sont le plus souvent posées lors de mes expertises de géobiologie et des conférences ou interventions auprès du public.

  • Géobiologie et feng Shui
  • La géobiologie et le monde scientifique
  • Le lit au nord ?
  • Les protections
  • Pourquoi ne faut-il pas dormir sur un cours d’eau souterrain ?

Géobiologie scientifique

La géobiologie est l’étude des phénomènes, naturels et artificiels, affectant un lieu de vie et pouvant influer sur la santé.

Géo (la terre) – bio (la vie) – logos (l’étude)

Agir et restaurer l’équilibre d’un corps n’est pas toujours suffisant. Il existe des agressions extérieures qui peuvent nuire et perturber en permanence le corps.

Ainsi, il est impératif, dans certain cas, de prendre en considération l’environnement de la personne et dans mesurer l’impact sur l’organisme. C’est ce qu’offre la géobiologie.

L’expertise géobiologique d’un lieu (habitation, bureau, etc …) consiste à définir les zones dites “géopathogènes” (dont les influences sont nocives pour le corps) afin de placer les habitants dans les zones “neutres”, qui n’ont aucun impact sur l’organisme.

Aucun besoin de recourir à diverses céramiques, appareils et autres pyramides ou cristaux.


Une intervention en bioénergie est souvent conseillée pour rétablir l’équilibre global de la personne affectée par les zones géopathogènes.

On retrouve des informations sur la géobiologie depuis des millénaires, et ce, dans toutes les traditions et toutes les cultures. Hippocrate, lui-même, signalait l’importance de s’informer sur la nature du sous-sol.

La géobiologie offre la possibilité de mettre en évidence des phénomènes dangereux non perceptibles directement, qu’ils s’agissent de courants d’énergie tellurique, comme les réseaux Hartmann et Curry, les cours d’eau sous terrains, les cheminées cosmo-telluriques, les champs de torsion (trop souvent ignorés ou inconnus) ou la présence d’ondes nocives telles les pollutions électromagnétiques, le passage de courant électrique etc …

Les perturbations peuvent être réduites ou annulées par un choix judicieux du terrain, par l’orientation de la maison, ou simplement par une nouvelle disposition des pièces et des meubles.


Exemples de phénomènes recherchés en géobiologie

Rayonnement gamma

Fusant à travers la croute terrestre, le rayonnement gamma est un rayonnement très ionisant et donc très nocif.
Alors que les rayons X varient entre 1017 et 1019 Hz, le rayonnement gamma se situe entre 1019 et 10221 Hz.

Les réseaux telluriques

Issus de la structure même de la terre (effet dynamo du noyau terrestre générant les champs magnétiques terrestres), mais aussi du champ gravitationnel du soleil, entre autre, ces réseaux ont des effets perturbants sur l’organisme.

Impact d’un point étoile sur un arbre (croisement de noeuds 3D Curry et Hartmann)

 

Vincent Gassies

Bioénergéticien ACMOS
Géobiologue Scientifique & Environnement
Décodage
Formateur en bioénergétique Acmos et bioenvironnement Acmos

Diplômé en étude « énergie », passionné par l’énergie sous toutes ses formes, j’ai débuté ma carrière professionnelle en travaillant dans des bureaux d’ingénierie du bâtiment. J’y ai découvert le monde de l’informatique, ou régnait à l’époque une absence totale de programmes pour les longs calculs de thermique, d’électricité et d’acoustique. Hermétique à cet outil, il me parut rapidement évident qu’il serait incontournable pour mon métier. J’ai donc appris, de façon autodidacte la programmation afin de me faciliter le travail. Et lorsque l’on découvre le plaisir de la programmation, on découvre un monde qui paraît sans limite. Ainsi, après avoir bifurqué dans une société d’informatique, je crée ma propre entreprise, ce qui me laissa tout mon temps libre pour poursuivre mes études dans le monde de l’énergie.

Des chakras à la médecine traditionnelle chinoise, des soins énergétiques au Shiatsu ou au Qi Gong, j’ai découvert combien le monde de notre corps était riche et subtil. Mais je ne trouvais pas de méthode réellement globale satisfaisante et dont l’approche scientifique satisfaisait mes convictions, jusqu’au jour où l’on m’introduit dans le monde de la bioénergie ACMOS.

Déjà aguerri à la géobiologie et notamment à la géobiologie scientifique, la pratique de la bioénergie ACMOS m’a permis de confirmer ce que je pensais depuis toujours, l’homme n’est pas simplement un composé d’organes et de réactions chimiques, il est une véritable mécanique d’énergies subtiles et profondes qui sont soumises, autant à notre mode de vie qu’à notre environnement.

Tout ce travail que j’ai réalisé durant des années, et je remercie encore et toujours toutes ces personnes qui m’ont fait confiance, qui m’ont transmis leurs savoirs, je souhaite le partager car il ne m’appartient pas. Il n’existe pas de méthodes meilleures que d’autres, elles sont simplement isolées d’une vision plus globale.

Je souhaite transmettre cette vision, et l’offrir à tous ceux qui le souhaitent, mais avec des outils de mesure scientifiques afin que l’on prenne conscience que tout est mesurable, quantifiable. Cela n’enlève en rien le ressenti du corps, au contraire, le simple fait de mesurer concrètement un phénomène aiguise bien plus notre corps, car on sait exactement ce que l’on ressent.