L’informatique

Module II de la formation en géobiologie scientifique

Concernant l’unité centrale, il est recommandé de la positionner à plus 50 cm de l’utilisateur. Bien sûr, il faut éviter que les câbles d’alimentations passent sur les jambes ou de poser les pieds dessus.

Concernant les écrans plats, ceux-ci rayonnent plus fortement sur les côtés et à l’arrière. Il faut donc penser à ne pas placer un écran contre un mur derrière lequel se trouve la tête d’un lit.

Comme tout appareil électrique, il ne faut pas brancher un ordinateur, un écran, une imprimante etc … sur une prise de secteur dépourvue de borne de mise à la terre. Cela aura pour effet de multiplier le rayonnement de l’appareil.

Et les cactus : Cereus Peruvianus

Les cactus ne protègent pas contre les émissions électromagnétiques des écrans d’ordinateurs.

 

Cheminée cosmo-tellurique

Module VI de la formation en géobiologie scientifique

Autrefois appelées « ronds de sorcières », elles sont constituées de spirales d’énergie qui connaissent des phases ascendantes suivies de phases descendantes.

Quelles soient de hautes ou de basses vibrations, elles perturbent très fortement l’organisme.

Ces cheminées ont un impact visible sur la nature en toutes saisons. En automne, il n’est pas rare de trouver des champignons poussant en cercle, délimitant le contour d’une cheminée.

4 types de cheminées cosmo-telluriques d’instincts sont identifiées à ce jour, de taux vibratoires variables.

Le taux vibratoire d’une cheminée cosmo-tellurique ne définit pas son type.

 

Comprendre les réseaux telluriques

Ces réseaux, qui quadrillent notre planète, sont le résultat de l’interaction du champ électrique terrestre, du champ magnétique terrestre et du rayonnement cosmique (rayonnement du soleil et d’autres astres célestes).

Il est vrai que pour simplifier on ne parle que de l’aspect terrestre (champ électrique et magnétique terrestre), mais les échanges avec les rayonnements cosmiques sont très importants. Je vais passer outre cette partie d’explication que je garde pour mes conférences et mes formations.

Pour comprendre les réseaux telluriques

Ces courants, ou réseaux, sont donc issus de la structure même de la terre. Le noyau interne de la terre (la graine), composé de nickel et de fer solidifié, par sa très forte densité, malgré une température avoisinant les 6000°C, possède une vitesse de rotation supérieure à celle de la terre.

Cette rotation génère l’effet dynamo et donc les champs magnétiques de la terre (explication simple et raccourcie, vue plus en détaille dans ma formation car très important). A cela, il faut ajouter les phénomènes électriques de la terre et le fameux rayonnement solaire pouvant atteindre des intensités de l’ordre de 1020 eV. De ces phénomènes liés, le géobiologue va s’intéresser à plusieurs de ces “champs”, dont on connaît les effets perturbants sur l’organisme.

Il va donc localiser ces zones géopathogènes (et même si ce mot est très critiqué sur certains sites, il est à savoir qu’il fut inventé par un médecin, président de la Chambre des Médecins de Marburg qui a mis en évidence à l’aide d’instruments de mesures physiques la dangerosité de zones qu’il nomma par ce terme) afin de permettre à toute personne vivant dans un lieu de ne pas y séjourner. C’est la mise en zone “neutre” ou protégée. Les réseaux telluriques sont formés par des cloisons plus ou moins régulières (comme des damiers) dont les croisements ont une influence néfaste sur le corps.

Il est courant de lire, dans les ouvrages traitant des réseaux telluriques, l’orientation de chacun d’eux ainsi que leurs dimensions. Il s’agit de cas d’écoles et en aucune façon ils ne possèdent de dimensions fixes. Repérer un croisement de cloisons d’un réseau (un nœud) ne permet en aucun cas de cartographier le réseau. Chaque réseau réagit de manière différente à l’environnement et se déforme en fonction de celui-ci.

Il existe plusieurs réseaux qui sont des multiples ou des fractions d’es réseaux nommés en dessous :

  • Réseau Romani
  • Réseau Palm
  • Réseau Peyré
  • Réseau Wissmann

Des réseaux dont la nocivité a été reconnu :

  • Réseau Hartmann
  • Réseau Curry
  • Grand réseau diagonal

Il existe aussi un réseau aux effets bénéfiques :

  • Le grand réseau global ou réseau sacré

La nocivité des réseaux provient du croisement des cloisons (ou nœuds) de ceux-ci où de la zone de superposition d’au moins deux réseaux.

Par ailleurs, un réseau voit aussi ses effets nocifs amplifiés quand il est en superposition avec un autre phénomène géobiologique tel que les cours d’eau souterrains, les cheminées cosmo-telluriques etc …

 

Le grand réseau diagonal

Module I de la formation en géobiologie scientifique

Ou réseau diagonal, le croisement de ce réseau très agressif semble avoir pour effet d’exacerber la multiplication cellulaire.

Il impératif, lors d’une expertise, de bien repérer ce réseau et d’éviter tous les nœuds. Ne pas utiliser de compensateurs, de neutralisateurs ou autres objets quel qu’ils soient.

Il s’agit d’une représentation à plat du réseau grand diagonal, cette représentation est un véritable cas école qui n’existe nullement dans la nature. Il est bien évident que les longueurs des cloisons ainsi que leurs épaisseurs varient et ne sont en aucun cas constantes.

Le réseau Curry

Module I de la formation en géobiologie scientifique

Il fut mis en évidence par le docteur Allemand Curry.

Le réseau Curry est un réseau très agressif dont les nœuds ont un impact très nocif sur l’organisme.

Il impératif, lors d’une expertise, de bien repérer ce réseau et d’éviter tous les nœuds. Ne pas utiliser de compensateurs, de neutralisateurs ou autres objets quel qu’ils soient.

Le réseau Curry

Il s’agit d’une représentation à plat du réseau Curry, cette représentation est un véritable cas école qui n’existe nullement dans la nature. Il est bien évident que les longueurs des cloisons ainsi que leurs épaisseurs varient et ne sont en aucun cas constantes.

Le réseau diagonal

Module I de la formation en géobiologie scientifique

Le réseau diagonal regroupe en réalité les trois réseaux suivants :

  • Curry
  • Grand diagonal
  • Wissman

On définit ces réseaux par « réseau diagonal » car ils possèdent une orientation cardinale à 45° vis-à-vis du plan Nord-Sud – Est-Ouest.

Il a été pris par habitude de notifier que le réseau Curry est le premier réseau diagonal, et le réseau Wissman, le deuxième réseau diagonal.

De ces réseaux, le géobiologue va repérer les réseaux Curry et grand diagonal qui affectent très fortement le corps.

Quant au réseau Wissman, l’intensité de ses cloisons, et donc de ses nœuds, restent aujourd’hui sans aucun danger quelconque.

Le réseau Hartmann

Module I de la formation en géobiologie scientifique

Réseau Hartmann où réseau H, où encore petit réseau global, fut découvert par le docteur Ernst Hartmann (1915 – 1992) et son frère.

Seul, le réseau Hartmann ne représente pas une grande nuisance. Mais en superposition avec d’autres phénomènes géopathogènes, un nœud Hartmann devient nocif.

Le réseau Hartmann

Il s’agit d’une représentation à plat du réseau Hartmann, cette représentation est un véritable cas école qui n’existe nullement dans la nature. Il est bien évident que les longueurs des cloisons ainsi que leurs épaisseurs varient et ne sont en aucun cas constantes.

Ce qu’il faut retenir :

Le réseau Hartmann n’est pas reconnus comme étant nuisibles à l’organisme, dans la mesure où ils ne sont pas superposés à un autre phénomène.

Il est vrai qu’il n’est pas rare de voir des géobiologues mesurer la « nocivité » d’un nœud Hartmann, mais très souvent cela n’est qu’un prétexte à la vente d’une quelconque céramique.

En revanche, ce réseau étant lié « aux réseaux électriques », les personnes électrosensibles peuvent être gênées par les nœuds Hartmann, mais dans tous les cas, ils ne sont pas « nuisibles » pour ces personnes.

Ce réseau étant sensible aux fluctuations électriques, il ne sert à rien d’en faire un repérage exact avant construction, car inévitablement, une fois l’ouvrage réalisé, le réseau Hartmann connaîtra une nouvelle configuration par la répartition des masses métalliques (même si le ferraillage est relié à la terre) et surtout par les réseaux de câbles électriques.

On assiste aujourd’hui à des méthodes de géobiologie utilisant des pierres où des barres métalliques afin de pratiquer une forme d’acupuncture du lieu. Mais jamais on ne voit un acupuncteur demander à ses clients de garder à vie les aiguilles placées. Les réseaux telluriques sont tels les méridiens du corps.

Cours d’eau souterrains et failles sèches

On emploie le terme de « faille » en géobiologie alors que l’on devrait plutôt utiliser le terme de « discontinuité » du sous-sol. La faille représente la perturbation la plus agressive en géobiologie.

Par ses failles peut fuser :

  • Le rayonnement gamma excessivement ionisant, donc excessivement nocif.
  • Des émanations de gaz radioactif radon 222.
  • Des perturbations liées à des sources de champs électromagnétiques ou de champs de torsions (extrémement dangereux)

Certaines failles cachent des cours d’eau souterrains, entraînant des problèmes organiques liés à une différence de potentiel électrique.

Des lignes de Ley à la grille cristalline terrestre

Module IV de la formation en géobiologie scientifique

Les lignes de Ley

Les premiers écrits relatant ses surprenants alignements remontent à l’époque romaine. C’est à la fin du XIX siècles que de nombreuses personnes se sont intéressées à ces étranges lignes dont William Black fondateur du “Straight Track Club”. William Black est à l’origine du terme” ligne de Ley”.

Dès lors de nombreuses études et recherches sont entreprises. Il en résultat que non seulement ces lignes parcourent la surface globale de la Terre, qu’elles passent systématiquement par des lieux de culte, mais qu’elles marquaient aussi l’emplacement de roue du zodiaque dans certains lieux où les lignes convergent (souvent les noms de villages font référence aux signes zodiacales).

Ces lignes ne sont pas toujours visibles à l’œil nu, il faut prendre de l’altitude, et pour certaines, c’est l’observation satellitaire qui les révèlent.

Un autre fait reste constant. Ces lignes apparaissent sans contournement, sans interruption, elles sont rectilignes quel que soit le paysage, ou les obstacles.

Des lignes de “Force”

Enfin, c’est à partir de 1950, avec les méthodes scientifiques modernes que sera réalisée une étude de ces lignes. C’est Aimé Michel qui parlera de “véritables lignes de force”. Reprenant ces travaux, Ivan Sanderson, biologiste américain, utilisera tous les outils scientifiques et les systèmes d’analyse de l’époque et découvrira 12 zones de perturbations magnétiques, énergétiques générant même des distorsions du temps. Il réalisera la grille planétaire des 12 vortex de Sanderson.

La grille cristalline du globe terrestre

Trois scientifiques russes, Vyacheslav Morozov, Nikolaï Goncharov, et Valery Makarov compléteront la grille de Sanderson en ajoutant l’étude d’anomalie gravitationnelle et magnétique de certains lieux, mais aussi en considérant le relief sous-marin, les zones de fracture sismiques et les “climats anormaux” de certaines zones. Il propose alors une nouvelle grille plus complète, qui s’adapte parfaitement à celle de Sanderson.

Enfin, c’est un couple américain, le Dr William Becker et son épouse le Dr Bethe Hagens qui finaliseront la grille à l’aide des études mathématiques de l’ingénieur Richard Buckminster Fuller.

Cette nouvelle grille, dans laquelle s’implante parfaitement les grilles précédentes, montrent des lignes passant dans des endroits remarquables du globe terrestre, qui sont soit :

  • des zones d’intenses phénomènes gravitationnels ou magnétiques
  • des zones d’intenses phénomènes magnétiques
  • des lieux où ont été implanté des temples de culte

Les réseaux telluriques, comme le Hartmann, le Curry etc … ne sont que des sous réseaux de ces grandes lignes de force.

Les composés organiques volatils (COV)

Module II de la formation en géobiologie scientifique

Ces hydrocarbures sont issus de matériaux de construction et s’évaporent dans l’air ambiant d’une habitation, d’un bureau, etc … sous l’effet de la chaleur et de l’humidité. Ils peuvent être diffusés durant plusieurs années.

On retrouve comme COV dans les habitations :

Le formaldéhyde (famille des aldéhydes) hautement toxique que l’on retrouve notamment dans les meubles en aggloméré, c’est cette odeur si spécifique.

Les hydrocarbures aromatiques : benzène, toluène, styrène, et autre xylène : papiers peints, moquettes, colles, peintures, vernis etc ….

De nombreuses études ont mis en évidence les risques encourus par l’émission de certains COV, dont notamment :

  • atteinte de l’appareil digestif, des reins, de la moelle osseuse et du cœur
  • allergie et irritation des voies respiratoires (asthme), de la peau, du nez et des yeux
  • perturbation du système immunitaire
  • risque d’effets cancérogènes

Pour s’en prévenir

Une bonne aération des pièces, au moins dix minutes par jour, est nécessaire ( ne pas tout calfeutrer, ne pas colmater les bouches d’aération).

Plantes :

Il existe des plantes dépolluantes qui ont la particularité d’absorber certains COV par les feuilles pour les restituer au niveau de la terre ou les micros organismes se chargeront de leur détérioration. Mais attention, cela résulte des travaux de la NASA, travaux réalisés en laboratoire avec des plantes surexposées à lumière et en forte concentration. Il est évident que vous n’obtiendrez jamais de bons résultats chez vous. Il ne s’agit pas là de solutions viables qui fonctionneront chez vous.

AglaonémaBenzèneToluène
AzaléeAmmoniac
ChamaedoreaBenzèneFormaldéhyde
ChlorophytumMonoxyde de carboneToluène
ChrysanthèmeBenzèneFormaldéhyde
Dracaena marginataBenzèneFormaldéhyde
FicusFormaldéhyde
Fougère de bostonFormaldéhyde
GerberaBenzèneFormaldéhyde
LierreBenzène
NephrolepsisFormaldéhyde
Palmier d’arecFormaldéhyde
PhilodendronFormaldéhydePentachlorophénol
Phoenix roebiliniFormaldéhyde
SanseveriaBenzèneFormaldéhyde
Scindapsus aureusBenzène
SpathipyllumBenzène
SyngoniumFormaldéhyde