Ces réseaux, qui quadrillent notre planète, sont le résultat de l’interaction du champ électrique terrestre, du champ magnétique terrestre et du rayonnement cosmique (rayonnement du soleil et d’autres astres célestes).
Il est vrai que pour simplifier on ne parle que de l’aspect terrestre (champ électrique et magnétique terrestre), mais les échanges avec les rayonnements cosmiques sont très importants. Je vais passer outre cette partie d’explication que je garde pour mes conférences et mes formations.
Pour comprendre les réseaux telluriques
Ces courants, ou réseaux, sont donc issus de la structure même de la terre. Le noyau interne de la terre (la graine), composé de nickel et de fer solidifié, par sa très forte densité, malgré une température avoisinant les 6000°C, possède une vitesse de rotation supérieure à celle de la terre.
Cette rotation génère l’effet dynamo et donc les champs magnétiques de la terre (explication simple et raccourcie, vue plus en détaille dans ma formation car très important). A cela, il faut ajouter les phénomènes électriques de la terre et le fameux rayonnement solaire pouvant atteindre des intensités de l’ordre de 1020 eV. De ces phénomènes liés, le géobiologue va s’intéresser à plusieurs de ces “champs”, dont on connaît les effets perturbants sur l’organisme.
Il va donc localiser ces zones géopathogènes (et même si ce mot est très critiqué sur certains sites, il est à savoir qu’il fut inventé par un médecin, président de la Chambre des Médecins de Marburg qui a mis en évidence à l’aide d’instruments de mesures physiques la dangerosité de zones qu’il nomma par ce terme) afin de permettre à toute personne vivant dans un lieu de ne pas y séjourner. C’est la mise en zone “neutre” ou protégée. Les réseaux telluriques sont formés par des cloisons plus ou moins régulières (comme des damiers) dont les croisements ont une influence néfaste sur le corps.
Il est courant de lire, dans les ouvrages traitant des réseaux telluriques, l’orientation de chacun d’eux ainsi que leurs dimensions. Il s’agit de cas d’écoles et en aucune façon ils ne possèdent de dimensions fixes. Repérer un croisement de cloisons d’un réseau (un nœud) ne permet en aucun cas de cartographier le réseau. Chaque réseau réagit de manière différente à l’environnement et se déforme en fonction de celui-ci.
Il existe plusieurs réseaux qui sont des multiples ou des fractions d’es réseaux nommés en dessous :
- Réseau Romani
- Réseau Palm
- Réseau Peyré
- Réseau Wissmann
Des réseaux dont la nocivité a été reconnu :
- Réseau Hartmann
- Réseau Curry
- Grand réseau diagonal
Il existe aussi un réseau aux effets bénéfiques :
- Le grand réseau global ou réseau sacré
La nocivité des réseaux provient du croisement des cloisons (ou nœuds) de ceux-ci où de la zone de superposition d’au moins deux réseaux.
Par ailleurs, un réseau voit aussi ses effets nocifs amplifiés quand il est en superposition avec un autre phénomène géobiologique tel que les cours d’eau souterrains, les cheminées cosmo-telluriques etc …