Module I de la formation en géobiologie scientifique
Réseau Hartmann où réseau H, où encore petit réseau global, fut découvert par le docteur Ernst Hartmann (1915 – 1992) et son frère.
Seul, le réseau Hartmann ne représente pas une grande nuisance. Mais en superposition avec d’autres phénomènes géopathogènes, un nœud Hartmann devient nocif.
Le réseau Hartmann
Il s’agit d’une représentation à plat du réseau Hartmann, cette représentation est un véritable cas école qui n’existe nullement dans la nature. Il est bien évident que les longueurs des cloisons ainsi que leurs épaisseurs varient et ne sont en aucun cas constantes.
Ce qu’il faut retenir :
Le réseau Hartmann n’est pas reconnus comme étant nuisibles à l’organisme, dans la mesure où ils ne sont pas superposés à un autre phénomène.
Il est vrai qu’il n’est pas rare de voir des géobiologues mesurer la « nocivité » d’un nœud Hartmann, mais très souvent cela n’est qu’un prétexte à la vente d’une quelconque céramique.
En revanche, ce réseau étant lié « aux réseaux électriques », les personnes électrosensibles peuvent être gênées par les nœuds Hartmann, mais dans tous les cas, ils ne sont pas « nuisibles » pour ces personnes.
Ce réseau étant sensible aux fluctuations électriques, il ne sert à rien d’en faire un repérage exact avant construction, car inévitablement, une fois l’ouvrage réalisé, le réseau Hartmann connaîtra une nouvelle configuration par la répartition des masses métalliques (même si le ferraillage est relié à la terre) et surtout par les réseaux de câbles électriques.
On assiste aujourd’hui à des méthodes de géobiologie utilisant des pierres où des barres métalliques afin de pratiquer une forme d’acupuncture du lieu. Mais jamais on ne voit un acupuncteur demander à ses clients de garder à vie les aiguilles placées. Les réseaux telluriques sont tels les méridiens du corps.