La géobiologie est l’étude des phénomènes, naturels et artificiels, affectant un lieu de vie et pouvant influer sur la santé.
Géo (la terre) – bio (la vie) – logos (l’étude)
Agir et restaurer l’équilibre d’un
corps n’est pas toujours suffisant. Il existe des agressions extérieures
qui peuvent nuire et perturber en permanence le corps.
Ainsi, il est impératif, dans certain
cas, de prendre en considération l’environnement de la personne et dans
mesurer l’impact sur l’organisme. C’est ce qu’offre la géobiologie.
L’expertise géobiologique d’un lieu
(habitation, bureau, etc …) consiste à définir les zones dites
“géopathogènes” (dont les influences sont nocives pour le corps) afin de
placer les habitants dans les zones “neutres”, qui n’ont aucun impact
sur l’organisme.
Aucun besoin de recourir à diverses céramiques, appareils et autres pyramides ou cristaux.
Une intervention en bioénergie est
souvent conseillée pour rétablir l’équilibre global de la personne
affectée par les zones géopathogènes.
On retrouve des informations sur la
géobiologie depuis des millénaires, et ce, dans toutes les traditions et
toutes les cultures. Hippocrate, lui-même, signalait l’importance de
s’informer sur la nature du sous-sol.
La géobiologie offre la possibilité de mettre en évidence des phénomènes dangereux non perceptibles directement, qu’ils s’agissent de courants d’énergie tellurique, comme les réseaux Hartmann et Curry, les cours d’eau sous terrains, les cheminées cosmo-telluriques, les champs de torsion (trop souvent ignorés ou inconnus) ou la présence d’ondes nocives telles les pollutions électromagnétiques, le passage de courant électrique etc …
Les perturbations peuvent être
réduites ou annulées par un choix judicieux du terrain, par
l’orientation de la maison, ou simplement par une nouvelle disposition
des pièces et des meubles.
Exemples de phénomènes recherchés en géobiologie
Rayonnement gamma
Fusant à travers la croute terrestre, le rayonnement gamma est un rayonnement très ionisant et donc très nocif. Alors que les rayons X varient entre 1017 et 1019 Hz, le rayonnement gamma se situe entre 1019 et 10221 Hz.
Les réseaux telluriques
Issus de la structure même de la terre
(effet dynamo du noyau terrestre générant les champs magnétiques
terrestres), mais aussi du champ gravitationnel du soleil, entre autre,
ces réseaux ont des effets perturbants sur l’organisme.
Impact d’un point étoile sur un arbre (croisement de noeuds 3D Curry et Hartmann)
Module II de la formation en géobiologie scientifique
De même nature que le rayonnement des
téléphones portables, les ondes émises ne sont pas au contact du corps,
ainsi leurs intensités sont moindres. En revanche, l’émission est
continue. Il est à noter que les antennes sont moins puissantes en ville
qu’en campagne.
Aucune étude n’a démontré
officiellement la dangerosité des antennes relais, mais là aussi,
suivant les pays, une mesure est soit dans les normes, soit inquiétante.
Par précaution, autant ne pas acheter
ou louer près d’une antenne. Malheureusement, celles-ci sont très
implantées et il est difficile en agglomération de ne pas découvrir,
par-ci par-là leur présence, même parfois masquée.
Module II de la formation en géobiologie scientifique
Tout appareil électrique, du moment
qu’il fonctionne (mode marche) génère deux champs : un champ magnétique
dépendant de l’intensité (l’ampérage) et un champ électrique provenant
de la tension (le voltage). On parle du champ électromagnétique ou en
abrégé CEM.
Le champ magnétqiue, mesuré en milliGauss (ou en nanoTeslas : 1 milliGauss = 100 nanoTeslas), est un champ alternatif rayonnant de façon concentrique. Il traverse toute matière sans être atténué.
Le champ électrique,
mesuré en Volts par mètre (V/m) correspond au déplacement de particules
chargées électriquement (des électrons pour nos câbles électriques).
Important à savoir :
Un appareil éteint, comme une lampe de
chevet, peut paraître de prime abord « éteint ». En effet, si l’on
mesure son champ magnétique, on aura une mesure de 0 milliGauss. Au
contraire, la mesure du champ électrique va révéler une activité de
charge.
Là … Nombreuses sont les têtes
étonnées quand je m’amuse à réaliser ces mesures. Comment peut-on
détecter un courant alors que la lampe est éteinte ?
Tout simplement car l’interrupteur ne
coupe pas le fil de l’arrivée du courant, mais celui de la sortie. A
comprendre, les charges négatives arrivent de la prise, passent
l’interrupteur, traversent le système de la lampe et repartent vers
l’interrupteur qui, en position d’extinction, coupe la sortie du
courant. Il y a donc présence de courant électrique, mais pas passage du
courant permettant à l’ampoule de s’allumer. C’est ainsi que certaine
personne s’électrocute en changeant cette dernière.
Il existe 3 solutions pour remédier au problème.
La moins couteuse, mais il faut
posséder un appareil de mesure de champ électrique, consiste à retourner
la prise dans la fiche afin que l’interrupteur coupe le fil d’arriver
du courant. Ceci dit, il existe des tournevis testeurs suffisamment
sensibles qui s’allument en présence d’un champ électrique.
La deuxième solution consiste à
remplacer tous les interrupteurs des appareils par des interrupteurs
dits « bipolaires ». Ces interrupteurs, identiques aux autres, assurent
la coupure du courant au niveau des deux fils, l’arrivée et le départ du
courant. On peut se demander pourquoi les appareils ne sont pas
systématiquement équipés par des interrupteurs bipolaires.
Troisième solution, plus radicale, est
l’installation d’un bio-rupteur, ou d’un IAC (Interrupteur automatique
de champs) au niveau du tableau de répartition électrique sur les
circuits de son choix : de préférence les circuits des prises et de
l’éclairage des chambres. Le principe de ces interrupteurs repose sur
l’appel de courant dans le circuit. S’il n’existe aucun appel de
courant, le besoin d’allumer une lampe par exemple, l’interrupteur coupe
toute arrivée d’électricité au niveau du tableau de répartition
électrique. Il est donc assuré de ne pas mesurer le moindre champ
électrique dans les câbles électriques. A la moindre demande de courant
pour allumer un appareil, le bio-rupteur réenclenche automatiquement
l’arrivée du courant. On ne se rend compte absolument de rien. Ce
système a un inconvénient, c’est bien dommage, s’il existe sur un
circuit, un appareil restant en veille et consommant suffisamment
d’électricité, il peut empêcher le bio-rupteur de se déclencher et ainsi
de couper le courant électrique.
Bien sûr, on me parle souvent des
blocs monoprise ou multiprise à interrupteur, ainsi que des prises à
télécommandes que l’on ajoute sur la prise murale et qui font office de
coupure de courant. Malheureusement, ces systèmes sont de type
unipolaire, ils ne coupent donc qu’un fil. Si la phase et le neutre des
prises murales de l’habitation sont inversés, ces systèmes ne servent à
rien.
Module II de la formation en géobiologie scientifique
Concernant l’unité centrale,
il est recommandé de la positionner à plus 50 cm de l’utilisateur. Bien
sûr, il faut éviter que les câbles d’alimentations passent sur les
jambes ou de poser les pieds dessus.
Concernant les écrans plats,
ceux-ci rayonnent plus fortement sur les côtés et à l’arrière. Il faut
donc penser à ne pas placer un écran contre un mur derrière lequel se
trouve la tête d’un lit.
Comme tout appareil électrique, il ne
faut pas brancher un ordinateur, un écran, une imprimante etc … sur une
prise de secteur dépourvue de borne de mise à la terre. Cela aura pour
effet de multiplier le rayonnement de l’appareil.
Et les cactus : Cereus Peruvianus
Les cactus ne protègent pas contre les émissions électromagnétiques des écrans d’ordinateurs.
Module VI de la formation en géobiologie scientifique
Autrefois appelées « ronds de sorcières », elles sont constituées de spirales d’énergie qui connaissent des phases ascendantes suivies de phases descendantes.
Quelles soient de hautes ou de basses vibrations, elles perturbent très fortement l’organisme.
Ces cheminées ont un impact visible sur la nature en toutes saisons.
En automne, il n’est pas rare de trouver des champignons poussant en
cercle, délimitant le contour d’une cheminée.
4 types de cheminées cosmo-telluriques d’instincts sont identifiées à ce jour, de taux vibratoires variables.
Le taux vibratoire d’une cheminée cosmo-tellurique ne définit pas son type.
Ces réseaux, qui quadrillent notre
planète, sont le résultat de l’interaction du champ électrique
terrestre, du champ magnétique terrestre et du rayonnement cosmique
(rayonnement du soleil et d’autres astres célestes).
Il est vrai que pour simplifier on ne
parle que de l’aspect terrestre (champ électrique et magnétique
terrestre), mais les échanges avec les rayonnements cosmiques sont très
importants. Je vais passer outre cette partie d’explication que je garde
pour mes conférences et mes formations.
Pour comprendre les réseaux telluriques
Ces courants, ou réseaux, sont donc
issus de la structure même de la terre. Le noyau interne de la terre (la
graine), composé de nickel et de fer solidifié, par sa très forte
densité, malgré une température avoisinant les 6000°C, possède une
vitesse de rotation supérieure à celle de la terre.
Cette rotation génère l’effet dynamo
et donc les champs magnétiques de la terre (explication simple et
raccourcie, vue plus en détaille dans ma formation car très important). A
cela, il faut ajouter les phénomènes électriques de la terre et le
fameux rayonnement solaire pouvant atteindre des intensités de l’ordre
de 1020 eV. De ces phénomènes liés, le géobiologue va
s’intéresser à plusieurs de ces “champs”, dont on connaît les effets
perturbants sur l’organisme.
Il va donc localiser ces zones géopathogènes (et
même si ce mot est très critiqué sur certains sites, il est à savoir
qu’il fut inventé par un médecin, président de la Chambre des Médecins
de Marburg qui a mis en évidence à l’aide d’instruments de mesures
physiques la dangerosité de zones qu’il nomma par ce terme) afin de permettre à toute personne vivant dans un lieu de ne pas y séjourner. C’est la mise en zone “neutre” ou protégée. Les réseaux telluriques
sont formés par des cloisons plus ou moins régulières (comme des
damiers) dont les croisements ont une influence néfaste sur le corps.
Il est courant de lire, dans les
ouvrages traitant des réseaux telluriques, l’orientation de chacun d’eux
ainsi que leurs dimensions. Il s’agit de cas d’écoles et en aucune façon ils ne possèdent de dimensions fixes.
Repérer un croisement de cloisons d’un réseau (un nœud) ne permet en
aucun cas de cartographier le réseau. Chaque réseau réagit de manière
différente à l’environnement et se déforme en fonction de celui-ci.
Il existe plusieurs réseaux qui sont des multiples ou des fractions d’es réseaux nommés en dessous :
Réseau Romani
Réseau Palm
Réseau Peyré
Réseau Wissmann
Des réseaux dont la nocivité a été reconnu :
Réseau Hartmann
Réseau Curry
Grand réseau diagonal
Il existe aussi un réseau aux effets bénéfiques :
Le grand réseau global ou réseau sacré
La nocivité des réseaux provient du
croisement des cloisons (ou nœuds) de ceux-ci où de la zone de
superposition d’au moins deux réseaux.
Par ailleurs, un réseau voit aussi ses
effets nocifs amplifiés quand il est en superposition avec un autre
phénomène géobiologique tel que les cours d’eau souterrains, les
cheminées cosmo-telluriques etc …
Module I de la formation en géobiologie scientifique
Ou réseau diagonal, le croisement de ce réseau très agressif semble avoir pour effet d’exacerber la multiplication cellulaire.
Il impératif, lors d’une expertise, de
bien repérer ce réseau et d’éviter tous les nœuds. Ne pas utiliser de
compensateurs, de neutralisateurs ou autres objets quel qu’ils soient.
Il s’agit d’une représentation à plat du réseau grand diagonal,
cette représentation est un véritable cas école qui n’existe nullement
dans la nature. Il est bien évident que les longueurs des cloisons ainsi
que leurs épaisseurs varient et ne sont en aucun cas constantes.
Module I de la formation en géobiologie scientifique
Il fut mis en évidence par le docteur Allemand Curry.
Le réseau Curry est un réseau très agressif dont les nœuds ont un impact très nocif sur l’organisme.
Il impératif, lors d’une expertise, de
bien repérer ce réseau et d’éviter tous les nœuds. Ne pas utiliser de
compensateurs, de neutralisateurs ou autres objets quel qu’ils soient.
Le réseau Curry
Il s’agit d’une représentation à plat du réseau Curry, cette
représentation est un véritable cas école qui n’existe nullement dans la
nature. Il est bien évident que les longueurs des cloisons ainsi que
leurs épaisseurs varient et ne sont en aucun cas constantes.